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Thibault Duperier

Protégé : Extractime – Sons

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Thibault Duperier

Extractime

Jeu vidéo narratif sonore

de Thibault Duperier et Faouzi Boughida


Aide à l’écriture du CNC, FAJV ; sélectionné à la résidence des Storygraphes.


RENCONTRE


Extractime est un jeu narratif sonore. Vous suivez la narration uniquement grâce à vos oreilles. Mais vous interagissez et influencez le récit grâce à une plateforme visuelle, en optant pour des choix conversationnels, des sons à enregistrer/déclencher, et en résolvant des puzzles sonores.


En 2110, HGCorp, une entreprise multinationale, invente et crée un pont temporel vers un lointain futur. Dans ce futur, la Terre est une jungle troublante et électrique. Et les humains ont disparu. HGCorp décide d’exploiter les ressources renouvelées du futur pour combler les pénuries de 2110.

C’est le travail de Coralie, une Extamier. Accidentée, blessée, esseulée lors d’une intervention, vous découvrez avec elle cette seconde nature, hybride, du futur, et tentez d’y survivre. Car vous êtes placée à l’intérieur d’une boîte noire, le seul bagage de Coralie.

Dans cette boîte noire, il y a :

Ben, l’intelligence artificielle conçue pour assister Coralie dans ses missions.

Et vous, une hackeuse infiltrée au cœur de Ben afin d’espionner les activités opaques de l’entreprise, qui se réserve l’accès à ce futur et en filtre les informations.

Vous vous associez secrètement à Ben et entrez en conflit pour la survie de Coralie. Tous les trois, vous parcourez la jungle mutée, jusqu’à découvrir qu’il y subsiste quelques humains du futur.


OVERVIEW

Genre JV : narrative game

Genre narratif : aventure, science-fiction

Single player

Public Cible : 30 ans et + ; les « narrative-gamers », les lecteurs et auditeurs de SF et fantasy

Plateforme : Steam & Switch (potentiel smartphones (iOS, Android) )

Temps d’une partie : 8h

Budget estimé : II, environ 300 000€

USP :

•Une aventure temporelle, qui mène à un dilemme écologique et humaniste

•Un univers sonore inouï, dans la nature du futur (avec création sonore inédite)

•Un jeu audio binaural

•Un protagoniste qui guide le joueur dans l’univers sonore


Le projet a été créé par Thibault Duperier, scénariste notamment pour Dowino Studio et des Escape Games. Il est développé avec Faouzi Boughida, game et narrative designer, notamment chez Ankama et Osome Studio.

Pour mener le projet jusqu’à sa sortie, nous avons besoin d’une structure qui nous accompagne dans la production et le développement, dans la recherche de financements et de publisher, ainsi que dans le recrutement de l’équipe de sound designers.

Le projet a été sélectionné à la résidence des Storygraphes en 2020 avant d’obtenir l’Aide à l’écriture du FAJV du CNC (sous le nom de Seconde Nature), fin 2022. Et nous savons que depuis quelques temps le CNC soutient, en pré-production, la grande majorité des projets ayant d’abord été aidés à l’écriture.


Dossier Pitch Deck sur demande

Maquette Twine et prototypes de puzzles sonores

GDD et Synopsis long en développement

En recherche de studio / production

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La Girafe et l’Escargot

Court-métrage – Fiction – 20′ – Drame psychologique (sélection en finale du concours de Lille, et au Kiosque d’Aubagne)

Un scénario de Thibault Duperier

Pitch

La Girafe et l’Escargot, ça ne parle ni de girafe, ni d’escargot. Il s’agit du langage du personnage principal, Benjamin. Il met des mots à la place des autres, formant un langage déstructuré, incompréhensible, parfois poétique. Benjamin est un jeune homme de 20 ans, schizophrène, avec un fort retard intellectuel. Il a perdu ses parents jeune, et a été éduqué par sa grand-mère qui le battait régulièrement.

Le film raconte le combat de Benjamin lorsque, accusé du meurtre de sa grand-mère, il se retrouve en UMD, une Unité pour Malades Difficiles, en Hôpital Psychiatrique. Lui, traumatisé par les événements, ne se rappelle pas de ce qu’il s’est réellement passé. Aidé du personnel de l’UMD, Benjamin va devoir faire à la fois : un travail de mémoire sur ce drame, un travail d’acceptation de soi, et un travail de langage : pour arriver à s’exprimer correctement, se défendre et transmettre sa vision des événements.


Extrait des intentions

Je pars volontairement d’une base très sombre, de violence et d’enfermement avec pour but de mener le spectateur dans un chemin de compréhension, d’ouverture vers ce personnage et son langage. Une compréhension que je souhaite également de ce le lieu psychiatrique, encore source de nombreux clichés et fantasmes.

La folie en tant que maladie profonde a été de très nombreuses fois traitée au cinéma, quoique souvent au passé ou en imaginaire, et reste malgré ça peu comprise et intégrée dans notre réalité. J’ai envie, par ce film, d’insister sur ce fait : la folie fait partie de notre monde sous de multiples formes. Et de certaines formes apparaissent parfois des beautés et des forces insoupçonnées.


Pitch vidéo – 1’30

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Le Masque

Court-métrage – Animation – 11′ – Comédie dramatique

Un scénario de Thibault Duperier

En recherche de réalisateur.rice et production

Pitch

Doriane a 75 ans, la posture aussi droite que possible, le regard fier. Une forme grisâtre la suit partout. C’est Simon. Un fantôme qu’elle est seule à voir, avec qui elle communique affectueusement, complices.

Lors d’une déambulation citadine, une vitrine attire l’attention de Doriane. Y sont exposés des masques étranges, accompagnés de casques audio. Doriane montre au fantôme Simon, en souriant, une affiche représentant un vieux village normand. Ils entrent dans le magasin.

Doriane s’approche d’un jeune vendeur passionné et demande à essayer. Elle tente alors de faire revivre les fantômes de son passé par l’expérience de la réalité virtuelle. Mais elle tombe très vite dans une impasse.

Le jeune vendeur réussira-t-il alors à la faire revenir partager ce présent grâce au virtuel ?


Extrait des intentions

Avec Le Masque, je souhaite traiter de la frontière de plus en plus floue entre la réalité et le virtuel. Je veux questionner l’importance de l’expérience réelle face à l’expérience virtuelle. Cette dernière, d’année en année, gagne en puissance émotionnelle grâce à des dispositifs à l’immersion et au réalisme grandissants. La barrière entre le vrai et le faux s’amenuise, à tel point que le faux semble aujourd’hui proposer des expériences plus fortes et vraies que nature.

Faux vrai, vrai faux… avant de nous y perdre, j’ai voulu en parler. J’ai choisi de le faire à travers un dispositif inversé et un personnage touchant, au centre de ces ambivalences.

Pour jouer sur cet aspect « plus vrai que la réalité », j’ai choisi de traiter la séquence dans le monde de la VR en prise de vue réelle. En opposition à une animation pleine de douceur et de poésie de la majorité du film, la prise de vue réelle insufflera le caractère « augmenté » souhaité. Je souhaite ainsi jouer de ce paradoxe. Et pourquoi pas, si dans Le Masque, l’invisible apparaissait dans la réalité de l’animation, tandis que le virtuel s’amusait à copier la matérialité du réel… et vice et versa ? Comme dans cette précédente phrase, nous pourrions nous égarer si nous n’étions pas heureusement guidés par Doriane.

Doriane poursuit une vie où son corps est au présent, mais son esprit au passé. La VR est pour elle d’abord un moyen de chercher à retrouver ce passé. Mais très vite l’échec est inévitable. La question est alors de savoir si ce virtuel, grâce à l’argumentation et la passion du jeune vendeur, sera capable de redonner à Doriane le goût du présent. Elle qui a comblé sa vraie solitude par des fantômes passés, est-elle prête à partager une fausse réalité avec des vies actuelles ? Tout s’entremêle à nouveau… Et je me demande. Au fond, réel, virtuel. Qu’importe, non ? Tant que l’émotion et le partage restent.

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La Source

Court-métrage – Fiction – 20′ – Drame d’anticipation, Survie

Un scénario de Thibault Duperier

En recherche de réalisateur.rice et production

Pitch

Dans un monde où l’accès à l’eau douce est devenu source de conflit, chacun doit se battre pour sa survie.

Sophie, 30 ans, a perdu son fils dans un affrontement. En pleine canicule, esseulée, elle arrive à un petit refuge de montagne. Son seul accès à l’eau : un réservoir alimenté par un minuscule torrent.

Lorsque de nouveaux arrivants convoitent la même eau, elle doit remonter à la source pour la défendre, et choisir entre partager et tuer.


Extrait des intentions

Tout projet d’anticipation part d’une hypothèse. La mienne est celle-ci : la terre n’ayant plus suffisamment d’eau douce pour tous les besoins humains, des forces économiques et militaires s’approprient cette ressource providentielle, au détriment de nombreuses populations.

Mon idée est de travailler cette hypothèse de manière sobre, humaine, et presque actuelle. Par une situation simple, traiter des propos et des enjeux globaux. Le fait de rester dans un univers très contemporain, dans un futur très proche, est aussi pour moi une façon de dire : c’est une problématique actuelle. Certes nous ne la vivons pas encore pleinement, mais cela peut arriver très vite, sans qu’on ait le temps de s’y adapter. Cela arrive déjà, bien que différemment, dans d’autres régions du globe.

Et au centre de cet enjeu, il y a le danger de la surpopulation. Il est difficile, dans notre monde, de questionner le don de vie, la procréation. Tout autant difficile que de parler de la mort volontaire et du renoncement à la vie. Mais la Terre ne me semble pas faite pour accueillir autant d’humains, jeunes ou vieux. Il me tient à cœur d’en parler, via des personnages hantés, en conflit sur la question. Je souhaite mettre en avant notre première responsabilité en tant qu’être humain, celle de la procréation.

La Source, c’est ainsi l’idée que la surpopulation est la source des problèmes, tandis que la pénurie d’eau en est la conséquence conflictuelle. Quant à la soif, elle est l’enjeu suprême.

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Foyer

Court-métrage – Fiction – 9′ – Drame fantastique-SF – Huis-clos

Un scénario de Thibault Duperier

En recherche de réalisateur.rice et production

Pitch

Aurélia, 30 ans, enceinte de huit mois, attend son deuxième enfant au milieu d’une vie de famille en apparence tranquille, dans une petite maison de banlieue. Mais face à Cyril, son mari, Aurélia doute : est-ce que ça se passera aussi bien pour ce deuxième que pour leur premier enfant, Mathéo ? Est-ce qu’elle l’aimera autant ?

Lorsque le bébé se met à taper très fort dans son ventre, Aurélia prend peur. Elle sort un appareil étrange d’une petite boite noire. Elle pose deux électrodes de part et d’autre de son gros ventre, reliées à un semblant de smartphone. Elle se met à communiquer avec son bébé.

Aurélia doit décrypter le langage énigmatique du bébé pour comprendre son message et essayer de remédier à sa grande peur à elle : que le bébé ressente son manque d’amour pour lui.


Extrait des intentions

Mon envie, comme souvent, est née d’un questionnement. Que peut-il bien vivre, ce fœtus, enfermé dans ce ventre, au milieu de tout ce liquide étrange ? Il ne connaît rien du monde, et pourtant, dans les dernières semaines de sa conception, il en ressent pas mal de choses. Des petits éléments qui n’ont certainement aucun sens pour lui, mais qui rythment son monde et commencent à construire ses émotions.

De là est partie le « Et si » de ce film : Et si l’on pouvait communiquer avec le bébé, in utero, que pourrait-il nous dire ? En quels mots cela pourrait-il se traduire ? Et surtout, que pourrait-il nous apprendre, cet intime étranger ? De quoi pourrait-il nous faire prendre conscience ?

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Monsieur Propre

Court métrage   –   fiction   –   20′   –   comédie sociale sur une révolution de sans-abris

Un scénario de Thibault Duperier

En recherche de réalisateur.rice et production

Pitch

Yannick, dit « Ya », 36 ans, est un sans-abri au bord du renoncement. Mais son esprit bouillonne encore d’indignation et de combat politique.

Lorsqu’un soir on lui vole son sac avec ses dernières affaires, au lieu de craquer, Ya achète éponge, produit vaisselle, et va sonner aux portes. Il se présente comme Monsieur Propre et lance : « Votre vaisselle contre une nuit au chaud ». Il se prend de nombreuses portes au nez, mais avec obstination cela fonctionne. Et au petit matin, alors que tout le monde dort encore chez ses hôtes, il vole quelques affaires qu’il distribue aux sans-abris du coin. Non sans laisser un mot de 2 pages, d’excuses de la part du gouvernement et de remerciements pour le sacrifice patriotique de ses hôtes.

Suite à son succès, Ya recrute Mich et Cécile, deux amis sans-abris pour faire comme lui et lancer le mouvement. La révolution est en marche face à une société qui accepte mal les provocations.


Extrait des intentions

Dans sa vie modeste, monsieur D va de chez lui au métro, du métro à chez lui. Et dans ces modestes trajets, monsieur D croise souvent plus modeste que lui. Il y en a un qu’il reconnaît bien. Un sans-abri, souvent debout, à déambuler, à tourner en rond, à quémander. Monsieur D l’entend régulièrement parler dans son coin : tout seul ou au téléphone ? Le doute demeure pour monsieur D, et au fond peu lui importe. Ce qui intéresse monsieur D ce sont les propos du sans-abri : de grandes phrases, des réactions vives, des diatribes, des monologues politiques. L’énergie, l’esprit et le regard franc du sans-abri fascine monsieur D. Il a décidé d’en écrire un film.

Je n’ai jamais eu envie d’un drame social sur ce sujet. J’ai tout de suite eu envie d’une comédie sociale. Le drame est là, en toile de fond, car je parle de sans-abris, c’est inévitable, et c’est nécessaire. Mais je voulais aller plus loin que les constats alarmants maintes fois répétés, ajouter ce grain de dynamisme et de folie qui pousse à l’action. Je souhaite naviguer à la limite du feel good movie, mais je ne veux pas vraiment en franchir la frontière. Car pour moi il y a trop peu de happy end dans la vie de ces personnes, et ce serait de mon point de vue trop candide, déplacé, que de finir le récit en victoire heureuse.

[…]

Partant de cette volonté, j’ai construit le récit autour du personnage qui passe des propos (les diatribes du sans-abri de monsieur D) aux actes. Une goutte d’eau -le vol du sac- fait déborder le vase d’exaspération et le pousse à l’action, à lancer un coup de pieds dans la société fourmilière. Yannick – dit Ya, son diminutif -, s’il a renoncé dans le cœur -comme tant d’autres-, n’a pas renoncé dans la tête. Il pense, il peste, il réfléchit à ce qui pourrait faire dérailler la machine indifférence de l’intérieur, à ce qui pourrait redonner quelque espoir à certains d’entre eux, les sans-abris. Ses premiers actes sont tranchés, maladroits, vengeurs, illégaux, provocants, mais ce sont des actes.

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Tête Chercheuse

Long-métrage – Fiction – Comédie Dramatique

Un scénario de Thibault Duperier

Pitch

Jeanne est une neurobiologiste perfectionniste mais malchanceuse. Chercheuse au CNRS, elle ne trouve rien depuis six ans. En tout cas, rien qui ne lui ait permis une libératrice publication. Son équipe est à bout. Achille, son glacial et macho directeur de labo, l’a déjà menacée plusieurs fois de saisir une commission administrative sur son comportement, si elle n’arrête pas de s’obstiner dans des impasses et gaspiller les ressources du laboratoire.

À 48 ans, célibataire, Jeanne se sent profondément seule. Elle espionne Yann, son ex, dans la rue. Soudain renversée par un chauffard débile, Jeanne a une révélation : elle veut consacrer sa vie à l’accroissement des capacités cérébrales, et éradiquer ainsi la connerie. À moitié paralysée par ses blessures, en fauteuil roulant, elle reprend le travail tant bien que mal et trouve une piste à approfondir, en passant par les cellules gliales. Sauf qu’au vu de sa situation physique, de son récent passé houleux, et qu’il ne s’agit pas de ses spécialités de compétences, Achille ne valide pas sa recherche.

Qu’à cela n’tienne ! Jeanne repart de zéro et se lance dans la bataille. Financements, laboratoire d’accueil, collègues qui croient en elle et son sujet : le chercheur passe le plus clair de son temps à chercher d’autres choses que sa recherche.

Mais Jeanne se rend compte que Yann, qui travaille dans le laboratoire privé voisin, travaille déjà sur le même sujet. Une compétition pleine d’amour frustré démarre. Jeanne est prête à tout pour servir la science… et l’intelligence !


Extrait des intentions

Par cette comédie dramatique, je souhaite traiter de l’univers de la recherche, encore assez peu connu du grand public. Le cerveau, à fortiori, est un sujet fascinant et mystérieux pour le plus grand nombre. Je veux questionner cette recherche dans tous ses apports, ses risques, ses dilemmes. Nous voyons régulièrement les problématiques éthiques que rencontrent ce milieu, que ce soit pour le robotique, la manipulation du vivant, etc. Si la recherche est fondamentale dans un objectif de société meilleure, plus juste et plus saine, jusqu’où aller et quelles barrières se poser ? Entre recherche publique et recherche privée, peut-on tout maîtriser ?

J’ai envie de mener le spectateur à l’intérieur de ce monde, grâce à Jeanne, ce personnage seul, attachant malgré ses importants défauts. Derrière sa volonté énorme et sa profonde frustration professionnelle et amoureuse, Jeanne garde une grande humanité en souffrance de ses nombreux remords. Elle guide le spectateur dans son travail, que je veux traiter de façon réaliste malgré les notes d’humour. J’ai engagé un dialogue et une documentation poussée avec différents neuro-scientifiques afin d’apporter une densité au récit, et une vérité aux questionnements traités.

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Thibault Duperier

Polaris

Série TV – Fiction – 6*52 – Feuilletonnant – Polar, huis-clos

Piégées en haute montagne, deux sœurs ennemies forcées de s’associer pour arrêter un tueur en série

Créée par Thibault Duperier

CONCEPT

Au Pic du Midi, une violente tempête de neige se déclenche. De nombreuses personnes – touristes, astrophysiciens, divers employés du Pic -, sont piégées dans les bâtiments touristiques et scientifiques.

Élise et Sarah Ducat sont sœurs mais devenues ennemies, elles se sont volontairement perdues de vue depuis 16 ans. Sarah est venue ici pour retrouver Élise et enterrer la hache de guerre.

Deux salles pleines de traces de sang sont découvertes, et une phrase menaçante : « Ils seront jugés chacun selon leurs œuvres« .

Polaris est un polar aux accents de thriller, un huis-clos tendu et glaçant, dans une ambiance météo de fin du monde. La série de 6*52 minutes est feuilletonnante. Elle met en scène deux sœurs que tout oppose. Élise Ducat est astrophysicienne. Sarah Ducat est ancienne capitaine de police, convertie en religieuse. Elles sont sœurs mais elles ne se connaissent plus. Lorsqu’elles se retrouvent, elles sont forcées de collaborer pour résoudre une enquête et sauver toutes les personnes piégées, à la merci d’un tueur en série.


La série investit un lieu de sciences où la religion tente de dicter sa loi. L’enquête, aux accents de thriller, est menée tant bien que mal par Sarah et Élise, deux sœurs, personnages forts aux caractères opposés. Sarah a trouvé sa voie là où elle ne l’attendait pas. Élise se cherche encore. Sarah accepte calmement le destin et prône le pardon. Élise pousse à la lutte et la justice. Sarah est une religieuse. Élise une scientifique.